Bonjour, cher lecteur, chère lectrice. Aujourd’hui, place à un sujet original : comment les dramas changent-ils la vie des dramavores ? Quels risques encourent-ils ?
Vous l’avez peut-être remarqué, certains hiboux de la rédac’ K.Owls sont des dramavores. Des dramavores de haut niveau, même. En effet, certains d’entre nous adorent ces séries coréennes et nos listes de visionnage commencent à prendre une taille impressionnante (presque tout autant que la liste des dramas encore à voir, d’ailleurs… #désespoir). Cependant, il faut savoir que cette passion n’est pas sans risque, loin de là. À chaque lot sa peine, paraît-il. Laissez-moi vous présenter les problèmes que nous, dramavores, rencontrons à l’heure actuelle.
Découvrir de nouvelles saveurs gustatives
Qui dit dramas coréens dit forcément nouvelle culture. À travers les œuvres d’un pays, on découvre les us et coutumes d’une nouvelle contrée. Et quand il s’agit d’une nation aussi différente que l’est la Corée du Sud pour des Européens, les nouveautés sont nombreuses : langage, tradition, cuisine etc. Rien de mal en apparence, n’est-ce pas ? Détrompez-vous.
On commence par vouloir goûter ces nouilles à la sauce noire (jjajangmyeon) qu’on voit les personnages manger à longueur de journée dans les dramas. Puis on veut savoir quel goût a le fameux kimchi (chou mariné) que les mères semblent passer leur journée à produire dans telle et telle série. Ensuite, ce sont les tteokbokki (gâteau de riz à la sauce piquante). Bah oui, ça peut pas être si épicé que ça, si ? (Eh bien si, ça pique, ces trucs-là.) Et après, on veut tester ci et ça.
Vous voyez où je veux en venir ? Ça devient sans fin. On finit par arpenter les rues des quartiers asiatiques pour trouver les restaurants coréens, suivre de plus en plus de chaînes YouTube et de blogs sur la nourriture coréenne etc. Sans fin, je vous dis.
Et encore, là, je ne vous parle que de manger. Vous allez ensuite vouloir vous mettre à cuisiner coréen (non mais quelle idée…). Une tâche un peu plus ardue lorsque l’on n’habite pas dans une grande ville, voire si l’on n’habite pas la capitale. En effet, il est bien beau de vouloir cuisiner, encore faut-il avoir les ingrédients pour le faire. Il faut donc localiser les petites épiceries qui proposent les ingrédients propres à la cuisine coréenne. Je pense par exemple au danmuji (radis jaune mariné), au gochujang (pâte de piment rouge) et aux racines de lotus. Les voici en image ci-dessous, dans l’ordre cité.
Manger et cuisiner coréen devient une chasse au trésor dont le butin en vaut le coup. Du moins, ce fut mon cas, et j’espère qu’il fut ou sera le vôtre aussi.
Se familiariser avec une nouvelle langue
S’il n’était question que de nourriture… La langue coréenne aussi finira par vous appeler. En effet, les dramas ne sont pas doublés : on les regarde avec des sous-titres. À force, on commence à comprendre quelques bribes par-ci par-là (et pas que les insultes, tut tut). Quitte à en arriver là, pourquoi ne pas apprendre le coréen pour de bon ? Le hangeul est un alphabet donc l’apprentissage est un peu plus aisé que celui du chinois ou du japonais, redoutés pour la multitude de caractères qui les composent.
Si, malgré cela, nous n’avons pas assez de temps ni de motivation pour apprendre une langue (on préfère parfois le passer à regarder les dramas), le fait est qu’on comprend quand même quelques bribes par ci, par là. Ce qui veut dire qu’on les a déjà bien trop entendues, drama après drama… et donc en contexte. Et au final, il y en a qui ressortent instinctivement. Comme ça, on ne sait pas trop d’où, ni pourquoi, ni comment. C’est faux, me dites-vous ? Vraiment ? Ça ne vous est jamais arrivé, de lâcher un « Aish » malencontreux de frustration ou qu’un « Fighting » vous échappe à la place du « Bonne chance » traditionnel ? (Dites-moi que je ne suis pas la seule qui soit bizarrement atteinte de cette façon, pitié.) Je ne vous dis pas les gros yeux qu’on vous fait si ça vous arrive devant des « non-initiés ». (Comment ça je parle d’expérience ? J’vois pas ce que vous voulez dire… #déni.)
La cuisine et le coréen… c’est déjà pas mal, tout ça, non ? Et pourtant, je n’ai pas encore fini d’exposer tout ce que les dramavores encourent… On continue !
Dire adieu à une vie sociale « normale » (heureusement qu’être normal, c’est surfait !)
Si nous pouvons nous qualifier de dramavores, c’est que nous aimons les dramas. Mais aussi (et surtout) que nous en avons vu beaucoup. Ce qui implique un temps non négligeable passé devant son écran (cette passion est chronophage, vraiment). Donc moins de sorties, moins d’interactions sociales, plus de temps en tête à tête avec son ordinateur (et l’artiste chéri qui ne nous appartiendra jamais, qu’on se le dise). Vous voyez ce que je veux dire ? Quand on plonge, on plonge. Vous me direz, c’est un peu la même avec les séries américaines à rallonge : il faut aussi rester collé devant l’écran pour les terminer.
Cependant, en ce qui concerne les dramas, avec un peu de chance (notez le ton ironique), votre entourage ne partage pas votre passion. Vos proches et vos amis ne vous comprennent pas ; vous faites vos marathons télévisés seuls. A contrario lorsqu’il s’agit d’une série anglophone pour laquelle il y a toujours des intéressés avec qui passer du temps, même devant la télévision. Bye bye la vie sociale telle qu’on la connaît. CQFD.
Vive le virtuel ?
Heureusement, nous sommes à l’ère de la technologie. Grâce à internet, il y a une multitude de plateformes de tchat, de forums, de réseaux sociaux etc. Il est donc complètement possible de trouver à qui causer, de se faire de nouveaux amis et de visionner ensemble un drama coréen… mais toujours par écran interposé. Et ainsi, toujours pas d’interactions physiques, réelles, tangibles. Pas de sorties entre amis au parc pour s’extasier de l’épisode de la veille, pas de pique-nique étendu pour rager sur la dernière idiotie réalisée par le (stupide) héros. Du moins, c’était le cas avant. Aujourd’hui, nous osons de plus en plus rencontrer physiquement les personnes que nous ne connaissions que virtuellement. Le bonheur !
Néanmoins, il arrive qu’on finisse par se distancer de certains bons amis qui refusent d’accepter notre propension à « kyater » devant notre artiste préféré, seulement parce que c’est un(e) coréen(ne), donc « bizarre ». Si nos amis ne nous acceptent pas avec nos goûts à nous, je suis au regret d’annoncer que ces amitiés ne valent pas le coup. Double CQFD, plus ou moins. Après tout, les amitiés se font et se défont, c’est la vie, m’a-t-on un jour appris. Heureusement que « un de perdu, dix de retrouvés » !
Cela n’affecte pas que les amis, d’ailleurs. Les partenaires aussi… ou plutôt, surtout eux. En même temps, normal qu’on veuille embrocher l’actrice si Monsieur la trouve bien à goût, ou qu’on souhaite sortir le bazooka si Madame bave trop devant l’acteur sous la douche. Enfin, « normal » n’est peut-être pas l’adjectif le plus approprié. Après tout, je crois que ce genre de pulsions meurtrières n’est pas très sain. Mais vous avez compris l’idée. Bonjour la vie de couple, au revoir la vie de couple.
Devenir un zombie-panda
De nombreux dramavores ont dû voir apparaître sous leurs yeux de « jolis » cernes et finir par ressembler à un panda (je suis sûre que je ne suis pas en train de généraliser mon cas…) ou par agir comme un zombie après une nuit trop courte. En effet, série américaine ou coréenne, c’est du pareil au même : quand l’épisode finit sur une fin ouverte à fort suspens (le fameux cliffhanger), il faut évidemment enchaîner sur le suivant. Juste un de plus. Rien qu’un seul ! Vous y croyez, vous ? Moi non plus. On enchaîne avec un, puis deux, puis quatre, puis dix épisodes. Bon, peut-être pas dix, ça voudrait dire nuit blanche (quoique… certains n’en sont pas loin). Mais c’est qu’on ne se couche pas à une heure très raisonnable. Cependant, le corps a besoin de son sommeil réparateur pour fonctionner aussi normalement que possible. À force de passer nos nuits les yeux rivés sur un écran, on se transforme en zombie-panda.
Un autre problème avec les dramas coréens, c’est qu’un épisode ne dure pas les traditionnelles 40 minutes américaines. Non, c’est une heure de sommeil en moins par épisode. Détail minime mais fatal. Vingt minutes de sommeil en plus, c’est important (déjà que certains d’entre nous pinaillent pour des secondes… #autodérision). Pourtant, cela n’empêche pas les dramavores de le faire quand même et de finir dans un état larvaire le lendemain. Un conseil : ne le faites pas trop de fois d’affilée parce que les zombies-pandas, ça ne passe pas inaperçu. Les patrons et les professeurs n’aiment pas trop avoir des zombies-pandas à la place des salariés et élèves brillants qu’on leur avait promis.
Heureusement, on peut lutter contre le panda-isme. En effet, les Coréens sont très friands de produits cosmétiques (plus ou moins) miraculeux. Parmi ceux-ci, le Panda’s Dream, un anti-cerne dont le packaging est un panda (quand je vous dis qu’on aime tous les pandas… D’ailleurs, le mien a élu domicile dans mon réfrigérateur. Ne riez pas). Les Coréens ont donc commencé à parer aux soucis de dramavores. Magnifique, n’est-ce pas ? J’attends encore le remède miracle contre la zombification.
Rêver les pieds en l’air (pas sur terre, quoi)
Contrairement aux idées préconçues, la communauté des dramavores n’est pas réservée qu’aux femmes. En effet, hommes comme femmes peuvent prendre du bon temps devant les séries et films coréens. Et chacun se fait plus ou moins influencer par ce qu’il/elle voit à l’écran, peu importe l’âge et le sexe.
C’est ainsi que certain(e)s dramavores vont se mettre à rêver d’un prince charmant inexistant, ou d’une princesse innocente fictive. En effet, il ne faut pas croire qu’on épousera l’acteur/actrice dans son rôle imaginaire un jour prochain. Même si cela est dur vu la tendance des stars coréennes à être très (trop ?) proches de leurs fans. Après tout, les artistes alimentent la passion des fans à l’aide de fan meetings dans lesquels ils vont -encore- voler certains cœurs. Mais remettons les pieds sur terre : il faut plutôt trouver chaussure à notre pied, celui qui nous sied, dans la réalité.
Bonjour les clichés !
Par ailleurs, nous n’aurons pas droit ne serait-ce qu’au dixième des jolies répliques romantiques qui sont légion dans les comédies romantiques (et même dans les dramas en général). Parce que ce sont des répliques, justement. En rétrospective, il faudrait même se méfier de ceux qui nous sortent de genre de phrases : en vrai, elles ont plus des allures de phrases servant à draguer qu’à déclarer un amour éternel. Fille comme garçon, hein, pas de prérogative des sexes. Rassurez-vous, cela ne veut pas dire que vous n’aurez pas droit à votre quota de phrases romantiques dans votre vie. Renoncez juste aux répliques, surtout de la part des non-initiés aux dramas, car eux sortiraient vraiment ces phrases de nulle part.
Autre point : l’image du bad boy et de la fille farouche est complètement partie en fumée. Dans les dramas, le mauvais garçon ou la fille rebelle se fait toujours convertir par l’autre personnage principal parce que, soit il/elle manque juste d’amour et/ou d’attention, soit il/elle avait juste un cœur chaleureux caché par une attitude froide. En réalité, ça peut être être le cas. Mais ce n’est pas universel. Il faut donc arrêter de s’amouracher de telles personnes avec l’idée de pouvoir les « sauver ». Et puis, on m’a dit un jour que l’amour, ce n’est pas vouloir changer quelqu’un pour qu’il/elle nous corresponde mais accepter la personne aimée telle qu’elle est.
Et quand le féminisme s’en mêle…
Enfin, on ne peut pas parler de drama sans aborder la question du féminisme. Les dramas mettent bien trop souvent en scène des héroïnes innocentes qui jouent les demoiselles en détresse, toujours à attendre qu’on vienne les sauver. Non, non, non. Dans le monde d’aujourd’hui, il faut savoir se battre soi-même pour ce qu’on veut plutôt que de développer une dépendance sévère. De plus, les dramas prêtent un côté romantique à tout ce qui est : attraper la fille par le poignet, les étreintes par le dos forcés, les baisers indésirables après un plaquage au mur… on finit parfois par en rêver. Encore une fois : non. Rappelons-nous la notion de consentement.
Voilà donc comment les dramas peuvent être dangereux : ils peuvent presque réussir à changer notre vision de la vie, de la romance, surtout lorsque le téléspectateur est un(e) adolescent(e) encore influençable. Restons sur nos gardes et laissons à la fiction ce qui appartient à la fiction, chers dramavores !
Dépenser son argent : les dramas, un monde multiniveau
Outre la cuisine, les restaurants et les potentiels cours de langue, être dramavore peut finir par revenir cher pour une toute autre raison. Premièrement, les dramas raffolent des placements de produits. Le sujet peut être bénin, comme les innombrables repas qui ont lieu au Subway (on dirait qu’il n’existe que le Subway, en Corée du Sud ! #sarcasme).
Des produits de beauté…
Cela peut aussi être plus raffiné ; je pense particulièrement à la multitude de produits cosmétiques utilisés par les héroïnes (et les zooms poussés sur ces produits). Quand on sait que le public des comédies romantiques, par exemple, est essentiellement féminin, il est facile de créer de la clientèle pour les sponsors. Et si ce n’est pas Madame qui achète, c’est Monsieur qui veut faire plaisir à l’élue de son cœur.
En rétrospective, il n’y a même pas besoin de faire une telle publicité, des fois. Il suffit de voir tel produit sur une star pour rêver de l’avoir aussi. Je me souviens particulièrement du rouge à lèvre NARS utilisé par Yoon Eun Hye dans I Miss You qui avait fait fureur : toutes les dramavores le voulaient ! Et beaucoup de monde a dû l’avoir puisqu’il avait fini par être en rupture de stock.
… aux doudous en passant par le bling bling !
Ne nous arrêtons pas qu’aux cosmétiques ! Un autre trou financier : les bijoux. Ils sont légions dans les dramas et souvent représentatifs d’un tournant. Rappelez-vous le collier de Boys Over Flowers, de Master’s Sun, de Pinocchio ou encore de Dream High (voir les images ci-dessous, dans l’ordre énuméré). Ils peuvent faire de bons souvenirs quand on est fan, et sont jolis sans parler de la relation avec le drama concerné. Heureusement que cette dépense peut être raisonnable lorsqu’on s’approvisionne sur des sites bon marchés. Cependant, la facture augmente vite si l’on s’intéresse à la qualité et à l’argent.
Encore une dépense non négligeable : les peluches. Oui, ces sacs à poussière sont également très populaires au sein de la communauté des dramavores. Toutefois, eux aussi font leur prix, et il est bien moins aisé de trouver un prix bon marché que ça ne l’est pour les bijoux. Ça prend aussi beaucoup plus de place… mais il semblerait qu’on arrive à les empiler les unes sur les autres quand le coin des peluches devient surpeuplé. Parmi les peluches tendances du moment, je pense que l’on peut citer le lapin-cochon de You’re Beautiful (elle est indémodable, celle-là), les peluches de Goblin, la pieuvre de Legend of the Blue Sea et j’en passe !
Pour terminer, les dramas, ce sont aussi des DVDs si l’envie vous prend d’avoir une copie physique de nos dramas préférés. Comptez aussi des albums OSTs si les musiques vous ont particulièrement marqué, ou si vous avez envie de feuilleter des photobooks contenant des images exclusifs du tournage. Parfois, la dépense est même double lorsqu’il y a plusieurs versions pour un même drama (on en parle, des deux coffrets pour Goblin ?).
Et quand on creuse… on atterrit dans la K-pop !
Ce qui peut être traître, aussi, c’est de s’intéresser aux artistes et de découvrir que certains sont avant tout des chanteurs. En effet, de plus en plus d’idols s’essaient à la télévision. Impossible, donc, de ne pas entendre parler de K-pop, et groupes de musique et tout ce qui va avec. Ainsi, certains ont découvert FTisland et CNBlue avec You’re Beautiful ou bien se sont intéressés à Miss A, 2PM et T-ara après Dream High. Plus récemment, BTOB a été remis au goût du jour avec Who Are You : School 2015. Et que dire de ces acteurs et actrices qui se découvrent une passion pour le chant, qui ne sont pas si mauvais que ça au final et finissent par sortir des albums ? Traître, que je vous disais.
Du drama à la K-pop, il n’y a qu’un pas. Et après, c’est le gouffre. Relativisons quand même : imaginez, si nous habitions en Asie, le temps et l’argent passés en billetterie pour les fan meetings, fan signs et autres rencontres organisées par les artistes. Là, ça ferait vraiment mal. Quoi qu’il en soit, les dramas, c’est plus fourbe qu’on ne le croirait. Si quelqu’un a une solution à cette douce addiction, pensez à moi, voulez-vous ?
Conclusion
Le monde du drama ne s’arrête pas qu’au visionnage, on va au-delà de nos écrans. Les dramavores plongent corps et âmes dans leur passion. On y passe nos journées, nos larmes (merci les scènes tristes), nos sueurs (avec lesquelles on gagne notre pain). Mais ne vous inquiétez pas pour nous (et peut-être vous ?), il y a aussi des avantages à cette passion, heureusement ! Des amitiés se créent par affinité, on s’ouvre au monde à travers une toute nouvelle culture, on découvre des artistes bourrés de talents, on se régale les papilles etc. Le bonheur, en somme.
Voilà donc qui clôt la liste des dangers qui guettent de nombreux dramavores. Est-ce que certains d’entre vous se reconnaissent ou bien suis-je en train de faire de mon cas une généralité ? Qu’associez-vous au drama ? Avez-vous fait face à d’autres dangers non cités dans cet article ? Si vous ne connaissiez pas les dramas, oserez-vous le grand plongeon ? Vous engagerez-vous à nos côtés sur cette voie de non-retour ? Comment imaginiez-vous le monde des dramavores ? Faites-nous part de tout cela en commentaires !
Sources images : Line Store | Maangchi | Kitchn | Naver
Quelle tranche de fou rire. J’ai pu cocher la majorité de tes arguments, je suis donc bien une dramavores ^^ RIP à ma vie sociale ^^ A un point près par contre, car je ne suis pas adepte de dépense pour trouver les goodies dramas, ost ou dvd.
Chez moi les dramas c’est en famille, eh oui c’est rare mais c’est une passion familale, de mes parents, frère soeur, mari, enfant, tout le monde y passe et les samedi soir ce n’est pas TF1 ou M6 mais Dramamania. Quand à l’aspect culinaire, et bien ma famille ne s’en plein pas. Je ne suis pas experte mais il est vrai que les dramas m’ont ouvert à leur cuisine.
Ravie de t’avoir fait rire ! Je me sens moins seule à être ainsi atteinte haha. Ton portefeuille a bien de la chance. Je te souhaite alors de bons moments dramas et miam en famille krkrkrkr. Régalez-vous bien (littéralement et au figuré !).
Hé hé mais souhaitons-nous vraiment en guérir? That’s the question!
J’avoue. La question à mille dollars !
Quelle tranche de fou rire. J’ai pu cocher la majorité de tes arguments, je suis donc bien une dramavores ^^ RIP à ma vie sociale ^^ A un point près par contre, car je ne suis pas adepte de dépense pour trouver les goodies dramas, ost ou dvd.
Chez moi les dramas c’est en famille, eh oui c’est rare mais c’est une passion familale, de mes parents, frère soeur, mari, enfant, tout le monde y passe et les samedi soir ce n’est pas TF1 ou M6 mais Dramamania. Quand à l’aspect culinaire, et bien ma famille ne s’en plein pas. Je ne suis pas experte mais il est vrai que les dramas m’ont ouvert à leur cuisine.
Ravie de t’avoir fait rire ! Je me sens moins seule à être ainsi atteinte haha. Ton portefeuille a bien de la chance. Je te souhaite alors de bons moments dramas et miam en famille krkrkrkr. Régalez-vous bien (littéralement et au figuré !).
Hé hé mais souhaitons-nous vraiment en guérir? That’s the question!
J’avoue. La question à mille dollars !
Avouez quand même que c’est rassurant de ne pas être seuls hein ^^.C’est vrai que l’on se fait des amis virtuels » à cause » des dramas et l’univers asiatique mais je ne m’en plains lol. Merci pour ton article représentatif, c’est complet et très réaliste ( et j’ai bien rigolé mdr)
C’est sûr ! C’est bien moins inquiétant haha. Merci à toi d’avoir lu et ravie que cela t’ait plu ! ^^
Avouez quand même que c’est rassurant de ne pas être seuls hein ^^.C’est vrai que l’on se fait des amis virtuels » à cause » des dramas et l’univers asiatique mais je ne m’en plains lol. Merci pour ton article représentatif, c’est complet et très réaliste ( et j’ai bien rigolé mdr)
C’est sûr ! C’est bien moins inquiétant haha. Merci à toi d’avoir lu et ravie que cela t’ait plu ! ^^
Merci pour ton article, qui est léger, drôle et surtout hyper pertinent ! J’ai 58 ans, et j’ai découvert les dramas il y a seulement deux mois et … je suis tombée dedans. Et comme j’ai vite compris ce qui se jouait pour moi dans ces séries, vu que je n’arrive pas à m’en passer, j’ai réalisé qu’il s’agit effectivement d’une véritable addiction ! On devient accro au rêve, à la profondeur des sentiments (les personnages sont souvent dans le dévouement à l’autre, voire dans l’abnégation), les émotions sont sublimées, décrites, immersives… J’en viens à me demander si je ne devrais pas arrêter, histoire de revenir dans le réel… En tout cas, merci à toi, ton article m’a permis de comprendre qu’il s’agit d’un phénomène commun à beaucoup et… c’est rassurant !
Merci pour ce très beau résumé.
J’ai enfin l’impression d’être comprise car mon entourage ne comprends pas cette passion.
Je me suis retrouver à travers chaque phrases !
Hahaha mais c’est tellement ça
Le kimchi, les restaus coréens, les OST (je n’écoute plus que ça sur Spotify) et la langue puis la Kpop
Si heureuse de ne ps être la seule
Et j’ai pourtant une famille et une vie sociale
Merci merci pour cet article !
Bon, ouf, je suis rassurée. Je croyais être seule sur cette planète addict aux dramas, la description est en tout point fidèle. Au point de trouver n’importe quelle excuse pour me retrouver en face de mon ordi attiré comme un aimant. Votre article m’a fait sourire. Bon j’y retourne tout de suite….